mercredi 26 septembre 2012
Mais il me comble au maximum quand il est bien rangé.
Après le repassage du matin je me suis pliée en deux (pourtant je ne suis pas bien grande) pour trier, jeter et ranger le mini grenier au dessus de la lingerie.
Ma collection de boules de neige du monde entier attendra les vacances de novembre, Eugénie en voudra peut-être quelques unes.
La malle aux tissus déborde mais pas question d’en jeter ne serait-ce qu’un mètre, on ne sait jamais, le téléphone préhistorique évite encore cette fois-ci la délocalisation, la maison de poupées des années 70 avec ses petits meubles et bibelots manque d’habitants, j’en trouverai sur un un vide grenier, le cartable en cuir de Maky malgré ses 60 ans a encore fière allure, un coup de cirage et il pourrait repartir sur le chemin de l’école, le cartable pas Maky.
Les décos d’Halloween, achetées dans un moment d’inconscience, je les ressortirai un jour, Eugénie la fêtarde appréciera.
Dans une boite à chaussures il y a un rasoir de voyage dans un coffret en bois, un couteau suisse qui fait tout, sauf le café, les garçons seront peut-être intéressés.
La caisse pleine de vieilleries parfaites pour se déguiser, je garde.
Le carton qui déborde de courrier reçu par Fille-unique dans les années 80, je suppose qu’il faut garder.
Finalement j’ai peu jeté mais beaucoup rangé, je suis ravie.