mercredi 29 juin 2011
Maintenant que je peux compter sur les doigts d’une main le nombre de jours qu’il reste pour que la maison soit pleine, je suis
pressée.
Pressée d’être à samedi et de voir descendre Tante préférée du train, pressée d’accueillir les 2 cousines provençales en attendant dimanche pour
que les 2 autres arrivent.
Pressée de guetter la voiture de Fille-Unique et voir les enfants se précipiter vers la piscine.
J’ai besoin embrasser leurs bonnes joues de normands, les entendre m’appeler d’un « Maaaaaaaaaab » insistant et sonore
J’ai besoin du joyeux tohu bohu qu’ils savent installer dans la maison, des cavalcades dans l’escalier, des « Attendez moi les garçons »
d’Eugénie.
Comme toujours je mets un frein à mon impatience, tant qu’ils ne sont pas là leur venue reste improbable.
Grosse chaleur encore hier, pas d’orage et ce matin la petite laine s’impose