dimanche 17 octobre 2010
Inquiétude.
Je dois m’y préparer mais ce ne sera pas facile.
Facile à dire mais dur à vivre.
Vivre des vacances sans les enfants serait une première.
Première fois pour eux et pour moi.
Moi, je dois me rendre à l’évidence, si la situation ne s’améliore pas, ils resteront en Normandie.
Plus d’essence dans le village. Impossible de prendre le risque d’aller les chercher et de ne pouvoir les ramener.
La journée d’hier avait pourtant bien commencé en retrouvant mes ciseaux à broder, ensuite le soleil avait remplacé la pluie me permettant de
couper les pivoines et d’attacher quelques branches folles de rosiers et puis Maky est revenu de sa quête, le couperet est tombé, les pompes sont vides !