lundi 4 octobre 2010
J’ignore tout des mœurs des hérissons, alors forcément je me pose des questions.
S’ennuyait-il tout seul, l’amour d’une belle épineuse l’a t-il poussé à braver les dangers de la rue ?
Toujours est-il que Maky l’a trouvé à l’état de paillasson sur le bord du trottoir entre nos 2 garages.
Je me demanderai toujours d’où il venait, quel périple il a du faire pour arriver dans les hostas et en repartir en douce dans la nuit de samedi
à dimanche.
Je dois avouer que ne plus le savoir dans le jardin ne m’attriste pas beaucoup, je craignais, bêtement sans soute, de le rencontrer et de
lui infliger sans le vouloir un coup de binette, ou autre outil de jardinier.