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9 août 2007 4 09 /08 /août /2007 08:09
t--lescope.jpg

Juste le temps de déposer 3 garçons en pleine forme, de dévorer les bonnes joues de Maminette et voilà Fille Unique repartie vers sa Normandie pluvieuse. La piscine est échouée, dégonflée, les vélos tournent à plein régime, tremplins improvisés, frayeur des spectateurs, dérapages contrôlés, plus ou moins et un N°3 pour qui l'été rime avec pieds nus, résultats ce matin, fièvre et mal de gorge…
Journée déjà bien remplie, hier, 1ère leçon de natation pour N°2, sous la pluie, heureusement la piscine est chauffée, le maître nageur très sympa, résultat, un grand-père transi d’avoir assisté aux ébats dans l’eau pendant 1 heure. Une anniversaire à retardement, gâteaux et télescope, pour monter l’engin pas moins de 2 grands-pères ont été nécessaires, la pluie toujours, l’intrépide, toujours pieds nus, il faut se fâcher pour qu’il consente à  mettre des chaussures, résultat ce matin il est répandu sur le canapé. Maintenant il faudrait bien que le ciel se dégage pour observer les étoiles et la lune un soir, il faudrait bien que la température extérieure remonte pour nous donner l’illusion que ce ne sont pas les vacances de novembre mais bien celles du mois d’août ! trop demander…
Pas trop le temps de détailler nos états d’âme, au beau fixe d’ailleurs, le PC ne va pas tarder à être squatter…
Sachez seulement qu’ici les grasses matinées n’existent pas, à 7h tout le monde est sur le pont.
Dernière minute: Dixit N°3  "ça va de plus en plus mieux"

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8 août 2007 3 08 /08 /août /2007 06:33
rose-jaune2.jpg

Il ne pleut pas donc il fait beau, alors n’hésitons pas un instant, les petits arrivent demain il est impératif que la piscine soit installée. C’était le mot d’ordre d’hier, ce matin il pleut mais le plus gros est fait.
Préparation de la terrasse, bâches plastiques et moquette bien centrées, nous installons un amas informe bleu qui au fur et à mesure du gonflage se transforme en un récipient rond que pompeusement nous appelons piscine, mais avant de s’y ébattre dans la chaleur du mois d’août, il faut nettoyer l’intérieur, chose que nous aurions du faire en la rangeant, il faut traquer les fuites d’air, il y en a une, et surtout bien positionner le tas bleu, c’est lourd, mal commode et la terrasse n’est pas d’aplomb, c’est moi qui l’ai faite et malgré l’aide apportée par N°3 quand il avait 18 mois, je confirme haut et fort « n’est pas maçon qui veut »
La pompe est sortie, la bâche de couverture aussi, ne reste plus dans la journée qu’à remplir. Cette nuit à 3 heure j’ai entendu qu’il pleuvait joyeusement, mais cela n’a pas entamé mon optimisme, les petites arrivent tout à l’heure il va, il doit faire beau.
Encore une fois je me rends compte à quel point les 3 séances chez l’étiopathe m’ont fait du bien, les années précédentes la séance installation piscine me mettait sur le flanc pendant 2 jours, cette année « même pas mal ».
Maillots et serviettes sont prêts, palmes, tubas, ballons, aussi.
Protection solaire ? Pas besoin.
Matelas pour les chaises longues, toujours à la cave.
K.Ways et bottes c’est OK.
Tous les cas de figure étant envisagés je peux dire que nous sommes fins prêts à recevoir la meute.

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7 août 2007 2 07 /08 /août /2007 07:17
jach--re-fleurie.jpg                                                              Jachère fleurie, c'est ravissant même sous la pluie.

Vous croyez qu’à la veille de recevoir ma tribu j’ai la tête à me promener dans la campagne gâtinaise, Sister à mes côtés, excitée à l’idée de peut-être finir sa journée avec un magasin plein de nouvelles choses, et bien c’est ce qui est arrivé hier. Sous une pluie battante après avoir négocié, parlementé, évalué, une gentille dame de 86 ans, secondé par un fils, un peu « à côté », obligée de vider sa maison, vendue, d’ici à mercredi, a cédé à Sister des meubles et souvenirs de plus de 40 ans passés dans sa maison de campagne, veuvage, âge et fatigue, l’ensemble de ces paramètres lui font renoncer à garder une résidence secondaire. C’est ainsi que ma fidèle kangoo s’est retrouvée à transbahuter un véritable inventaire à la Prévert. Tables, chaises, bibelots, vaisselle, verrerie, gravures, petits riens, souvenirs, et une incroyable collection de mains, de toutes tailles, formes, matières, expressives, et même « curieuses », (2 font un doigt d’honneur) érotique, mais là je dois dire que seule Pomponette à vu quelque chose, dans le viseur, vous savez comme les porte-plumes du siècle dernier, en fermant un œil on pouvait voir la baie de Douarnenez ou autre vue touristique. Cette collection est surprenante, je n’avais jamais vu autant de mains, vous aurez quelques photos de temps en temps. Bon le magasin est bien plein, Sister est contente, Pomponette aussi, et moi j’ai loupé le coup de fil de Fille Unique. Tant pis, en principe, à priori, normalement,selon la formule consacrée, je les vois tous demain, le temps de nous laisser les garçons, un bisou et la voilà repartie vers ses lapins, ah ! Je ne vous ai pas dit qu’ils avaient la myxsomatose ! Une galère de plus, cela en deviendrait presque comique.

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6 août 2007 1 06 /08 /août /2007 06:27
marguerite.jpg

C’était le jour ou jamais pour se tricoter un souvenir d’été, ciel immobile d’une pureté sans nuage, table à l’ombre, rosé bien frais, grillades, des amis dont le bronzage apportait la preuve que juillet n’a pas été pourri pour tout le monde, le clafoutis de Sister parfait, thé glacé, conversations légères, juste ce qu’il fallait de médisances pour pimenter, un bon dimanche en somme. Ce matin le soleil a du mal a percer les nuages, le ciel est encombré, mais nous allons malgré tout installer la piscine, un gros travail pour peut-être pas grand-chose mais les petits seraient trop déçus de ne pas voir le lieu de leurs ébats en arrivant. J’ai quand même dans ma besace de quoi les distraire si jamais il ne faisait pas très beau, quelques saynètes à mettre en scène, trouvée sur internet, un jeu de piste au château de Chamerolle, une soirée aux fêtes médiévales de Ferrières, ne pas oublier les déguisements de chevalier, des leçons de natation pour N°2, et bien sûr les incontournables  parties de foot avec Maky, les jeux de société avec Sister, vélo et tracteur et une journée pour les 2 grands au musée de l’aviation. J’en connais 2 qui vont vouloir se servir de la nouvelle machine, aussi intellos que manuels, ils vont « tanner » Maky pour s’en servir, et parions qu’ils l’auront à l’usure.
Une bonne surprise hier, une blogueuse absente de la toile depuis trop longtemps, par des chemins détournés a donné un tout petit signe de vie…
Dans le potager 3 melons grossissent à vue d’œil, enfin une satisfaction dans ce domaine !

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5 août 2007 7 05 /08 /août /2007 07:00
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Non ce n’est pas un vieux métier disparu mais un extrait de la citation de Victor Hugo : « Faire rire c’est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre qu’un distributeur d’oubli. » Beaucoup d’entre nous aurait bien besoin de fréquenter assidument un tel homme, ou femme. Un d’entre eux vient de disparaître, l’hommage rendu à la télé m’a semblé plus important que pour d’autres acteurs, à coups de rediffision assez bien choisies, Michel Serrault nous a fait rire aux larmes avec sa démonstration de « beurrage de biscottes », il nous a ému et dérangé lors de sa Garde à vue, et du même coup nous avions Lino Ventura en prime, je ne vais pas citer tous les films proposés dans la semaine car une question m’obsède : Suis-je à ce point hermétique au comique pour avoir dormi pendant toute la représentation au théâtre de la « Cage aux folles » C’est vrai que devant moi un pilier me bouchait la vue, que le strapontin n’était pas hyper confortable, mais ce ne sont que de mauvaises raisons, il a fallu que j’attende la version filmée sans Poiret pour enfin rire de bon cœur à toutes les situations. Suis-je normale docteur ? J’ai de sérieux doute.
Bienfaiteur, le distributeur d’oubli, il devrait au moins être remboursé par la sécu. Rire aux larmes, hoqueter dans un fou rire, rire à gorge déployée, rire par les autres et aussi des autres, c’est bénéfique, beaucoup plus que le rire jaune qui lui ne procure aucun bien être. J’ai toujours envié les personnes qui ont toujours le rire aux bords des lèvres, surtout celles qui bardées de soucis divers et variés peuvent se noyer dans un rire salvateur qui fuse à la moindre occasion. Conjuguons le verbe rire toute la journée, c’est bon pour le moral.
J’ai horreur des rires ajoutés aux séries dites comiques, je n’ai aucunement besoin que l’on me dise à quel moment je dois m’esclaffer. Vivement le retour de Kamelot.

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3 août 2007 5 03 /08 /août /2007 07:51
oignons-rouges.jpg

Ressortir de la boulangerie sans avoir cédé aux appels du croissant aux amandes n’est-ce pas tout simplement de l’héroïsme ? Ignorer superbement les effluves de pain au chocolat (double) qui s’échappent de la pâtisserie, ne révèle-t-il pas une force de caractère phénoménale, passer devant la boite de chocolat noir sans en ouvrir le couvercle n’est-ce pas le comble de la force de caractère, et c’est ainsi que mises bout à bout ces immenses frustrations quotidiennes me donnent l’impression d’avoir égaré un bon kilo à la fin de la journée, ce qui n’est qu’illusoire bien entendu. Où est-il le temps béni de la trentaine insouciante, celui où tous les excès n’avaient aucune conséquence sur le tour de taille, où est-il le temps où je m’installais dans un salon de thé et commandais 4, 5 gâteaux bien crémeux sans éprouver ni la moindre honte, ni le plus petit remords et encore moins le moindre écoeurement ? Il est bien fini ce temps-là et quand on fait moins d’1m60, si on veut éviter de rouler il faut se montrer héroïque devant toutes les tentations.
Tout ça pour ne rien dire en fait, sauf qu’hier, sans aucun rapport avec ce qui précède, j’ai lu qu’à la Chambre des Lords il y avait 2 bancs, celui des insatisfaits et celui des satisfaits, pas étonnant qu’elle donne l’impression d’un joyeux chahut quand on la voit à la télé. Pour ne rien dire encore, pas dormi 1 mn devant les Desperates, hou ! Il s’en passe des choses dans ce quartier « calme et coquet » J’ai regretté de ne pouvoir enregistrer l’émission sur l’Italie, vu quelques images bien tentantes pendant les coupures de pub. En prévision des Desperates j’avais bu un énorme thé dans l’après-midi à 2 heures je ne dormais pas encore devant Sonate d’automne, ça lave la tête des Experts, FBI et autres séries policières…

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2 août 2007 4 02 /08 /août /2007 07:10
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                                                             Quelques fleurs du jardin.

Mais sera-t-il là aujourd’hui, je parle de l’été bien sûr, une vraie belle journée, pas de vent, température idéale, ciel limpide, volets baissés dans la maison, j’adore cette pénombre qui efface la poussière, carrelage frais sous les pieds, on se croirait en vacances. A genoux dans le potager pour mener à bien un désherbage nécessaire les lézards me tenaient compagnie, et le soleil chauffait mes vieilles douleurs, j’étais bien tout simplement, les mains dans la terre je ne pensais à rien d’autre qu’au moment où j’allais commencer le pantalon de Maminette, je ne suis pas adepte de l’autosatisfaction mais dans le cas présent je suis assez contente de moi, il est fini et j’ai même de quoi me lancer dans un petit gilet sur lequel je ferai une broderie. J’attends un peu pour créer ma griffe, c’est encore prématuré.
Ce matin nuages dans le ciel, je tourne et retourne dans tous les sens le coussin que j’ai dans le dos, impossible de trouver la position idéale, bien fait pour moi, hier soir j’ai eu la flemme de me relever pour avaler les 2 cachets qui diminuent notablement les douleurs au réveil, la paresse est un vilain défaut, je le vérifie tous les jours.
Un reportage assez intéressant hier soir sur les différentes manières de partir en vacances : un couple d’enseignants  et leurs 2 enfants sont partis 1 an en 4x4 sillonner les routes des Amériques du Nord et Sud, belle expérience, vie quotidienne assez rude, bivouacs spartiates, paysages magnifiques, un seul bémol, la tête de la fille (15 ans) en disait long sur son état d’esprit, vivre en vase clos avec la famille sans les copines…j’espère que dans quelques années elle n’aura gardé que les bons souvenirs. Mais je me pose la question suivante : Les parents doivent-ils imposer leurs rêves à leurs enfants ? Ce genre d’expérience est assez fréquente, mais désociabiliser 2 ados pendant un an ne risque t-il de générer de gros problèmes au retour à la vie dite normale.
Autre sujet de stupéfaction : le prix de la location d’un mobil home dans un camping 3 étoiles à Biscarosse : 3000 euros la quinzaine ! À méditer n’est-ce pas ! A ce prix là je préfère l'hôtel.

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1 août 2007 3 01 /08 /août /2007 07:03
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J’ai trois magasins de prédilection, non, pas les parfumeries, ni les fringues, encore moins les chaussures, ceux que je hante volontiers pour le seul plaisir de réver et souvent d’acheter sont les merceries, les quincailleries-drogueries et les brico-machins. Hier je suis partie en quète de tissus pour faire un pantalon à Maminette, un mini marché St-Pierre est à quelques kms, tous les tissus d’ameublement, tous les galons, rideaux, joli vichy, jersey douillet, flanelle douce et grise comme je les aime, l’embarras du choix, le rayon mercerie avec ces toiles canevas de toutes grosseurs, de la plus grossière à la plus fine, ces fils et accessoires indispensables pour une brodeuse et une couturière débutante, la caverne d ‘Ali Baba tout simplement.
En  écrivant ces lignes surgit le souvenir de « La » quincaillerie-droguerie de la rue Montorgueil, comme chez les Mozabites d’Algérie on y trouvait tout ,tout et même ce que l’on ne cherchait pas, des conseils, des plaisanteries, de la compétence et surtout de la bonne humeur. A cette époque j’ai beaucoup hanté aussi le sous-sol du BHV, haut lieu du bricolage, un peu trop grand pour moi, mais le spectacle était à chaque rayon, j’admirais le parisien qui repartait avec 20 kilos d’étagères dans les bras, j’épiais, pas toujours discrètement, le « maniaque » qui passait des heures devant le rayon des poignées de portes, prenant, reposant, reprenant encore et toujours la même poignée, hésitant pour finalement repartir sans rien après avoir fait perdre son temps au vendeur, un monde à part ce sous-sol, femmes décidées allant tout droit vers la visserie, retraités venant faire la causette, hommes entre deux rendez-vous professionnels, pressés, une liste à la main et pas question de rentrer le soir à la maison en ayant oublié la lunette des toilettes, là aussi un personnel compétent mais pas toujours aimable, je peux comprendre…
Tout ça pour dire qu’hier je suis allée chez le marchand de tissus pendant que Maky de son côté faisait les bricos de la région : les problèmes commencent, il lui faudrait un mandrin supplémentaire pour ma "rivale".

Ce matin en allant chez les copines de 20 six, on se retrouve  en novembre 2006…une façon comme une autre de rajeunir.

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31 juillet 2007 2 31 /07 /juillet /2007 06:35
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                                                                    Je ne suis pas mécontente de ma première
                                                                         réalisation.

Les personnages : Françoise qui ne sait pas dire bonjour sans inviter à dîner dans la foulée.
Gaston la gaffe et sa femme.
Sister, Maky et moi.
Le lieu : Une maison de campagne
L’époque : Un soir d’hiver dans les années 80.

Françoise passe me voir en coup de vent et lance «  Venez ce soir à la maison et amenez vos amis » Aucun doute pour nous, ce sera un dîner, foie gras et bons vins, ou côte de bœuf comme elle aime faire dans la cheminée.
Nous arrivons à 20h, la table est mise, du haut de son presque 2 m Gaston compte les assiettes, il en manque une, pas grave Sister est réputée pour son appétit d’oiseau…
Apéritif au champagne, rires, effectivement une braise rougeoyante est prête dans la cheminée, donc ce sera comme souvent côte bœuf.
Le temps passe il est bientôt 22h...
Françoise me demande de la suivre pendant qu’elle se prépare et là j’apprends qu’elle attend un autre groupe pour dîner, je réalise que nous ne sommes pas invités pour le repas et me demande bien pourquoi elle nous a convié. Il faut faire comprendre discrètement aux autres qu’il est temps de lever le camp, Gaston va gaffer c’est sûr, il va sortir son comptage d’assiettes, nous sommes mal, les vrais invités arrivent, nous les connaissons un peu, re-champagne, il faudrait bien que l’on se remplisse l’estomac maintenant, comme un seul homme nous nous levons, dès la porte franchie le fou rire nous attrappe, direction le chinois du coin, et je dois dire que lorsque nous jouons les « anciens fêtards » nous en rions encore.

 Ceci est ma participation à la chaîne "Anecdotes"

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30 juillet 2007 1 30 /07 /juillet /2007 07:07
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                                                      Notre vigne nous donnera peut-être des satisfactions?

Ce temps est bien perturbant, déboussolant, générateur de moral en berne, de faux espoirs et de paresse. Comme ce dimanche sous le signe de la torpeur limite comateuse. Hier pendant que des hommes habillés en jaune, bleu et rouge pédalaient avec assez peu d’entrain j’ai plongé dans un sommeil lourd et réparateur jusqu’à une heure avancée de l’après-midi, j’en suis sortie un peu hébétée mais contente de n’avoir rien vu des averses nombreuses et très mouillées qui ont encore une fois rendu inutile l’arrosage. Un beau dimanche totalement improductif, entrecoupé de petits réveils afin de mieux me rendormir.
Ces jours-çi j’ai beaucoup de mal à intégrer le fait que nous ne sommes pas encore en août, qu’il reste en principe de belles journées ensoleillées à notre crédit et que l’automne est encore loin. Il paraît que la prochaine quinzaine sera estivale, j’ai du mal à le croire, vivement septembre qui nous verra sur la côte, à nous la plage, moins bondée, à nous les virées dans l’arrière pays sans trop de bouchons, à nous enfin la mer et le soleil, au bout de 6 ans reprendrais-je mes marques ? Je pense que oui tout cela est inscrit dans mes gènes.
Dans la nichée j’ai un N°2 qui comme le temps de ce mois peut passer avec rapidité et facilité du rire aux larmes sans raison apparente, mais il faut bien avouer que sa mauvaise humeur est plus facile à canaliser que les changements du temps, son oeil s’assombrit aussi vite que le ciel, il peut même nous prévenir le matin en déclarant qu’il est de « bonaise » humeur, amalgame qui fait garer ses frêres un peu loin de lui jusqu’à ce que l’orage passe. Et quand le sourire lui revient, on ne sait pas pourquoi, la vie peut reprendre son cours tranquille, la chappe de plomb se transforme en voile léger, le soleil brille à nouveau dans la maison. La seule qui n’a pas droit aux sautes d’humeur est Maminette, elle explose litéralement de joie quand elle le voit, ses bras et jambes expriment un contentement proche de l’extase et le nirvana est à son comble quand il lui parle. Je dois  préciser qu’il s’en occupe très bien et que souvent il lui donne à manger avec une patience d’ange, d’où l’adoration qu’elle lui voue.
N°1 a du rentrer fourbu de son camp, Fille Unique dès que tu as un moment…
Hier j’ai failli à la tradition en ne parlant pas du marché, je répare aujourd’hui, de la pluie, des bronzés retour de vacances, des palots pas encore partis, des parapluies et même des anoraks, avec des sandales c’est assez curieux. Quand aux fruits et légumes toujours aussi onéreux.

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