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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 06:52
                                                                      Pomponette et Mab partent en périssoire.

Hier après avoir nagé, oui, oui (en rond) dans la piscine, la chaleur a fait place à un orage violent mais éphémère et tout d’un coup j’ai eu 10 ans, nous étions à Valras et le vent marin nous obligeait à plier parasol et serviettes,  car dans ces cas là « ça pègue » tout est humide, poisseux, les cheveux collent sur le front, la mer se fait houleuse, traitresse, méchante et mieux vaut la quitter. Alors que fait-on à la mer quand le vent nous chasse de la plage ?

Vite on rentre à la location, vite on quitte les maillots pègueux de sable  collé, et vite à la pâtisserie car tout d’un coup les vacanciers sont pris d’une fringale subite, du sucre et en quantité !!! Enfin rassasiées les familles adoptent un pas nonchalant, il faut occuper les enfants jusqu’à l’heure du repas, après la patisserie c’est au tour de la librairie de recevoir la cohue renfrognée, (un jour de mer perdu) et que peut-on faire un jour sans plage ?

Les cartes postales aux amis, relations, famille : Bon souvenir de vacances, il fait beau, on pense à vous, à bientôt. Les enfants sont plongés dans les bandes dessinées, allez, allez, on y va ! Oui mais où, personne ne le sait mais tout le monde déambule dans la rue principale, les terrasses de café sont pleines, les marchands de souvenirs dévalisés, les poussettes encombrent les trottoirs, les enfants commencent à bailler, au bout de la jetée les vagues se fracassent contre la digue du phare, c’est «  marin » tout est poisseux, le sable est mouillé mais demain nous irons à la plage, il y aura un véritable inventaire à la Prévert au bord de l’eau, une sandale, un couteau, un chapeau, un maillot de corps (le TShirt n’est pas encore l’uniforme incontournable) un bas de maillot…tiens tiens où est le haut, un matelas pneumatique percé, et des coquillages, des coquillages, de quoi en remplir les seaux et faire de beaux chateaux décorés.

C’était en 1954 à Valras un jour de vent marin. Les plages du Languedoc sont immenses, le sable est fin, il y fait soleil tout l’été mais gare au vent du Nord ou au vent marin, ils vous précipitent direct à la patisserie…



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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 13:14



Je savais bien qu’il ne fallait pas traînasser au lit jusqu’à des heures incroyables, je me doutais qu’il y aurait des reproches et des bouderies, mais je me disais que pour un dimanche pluvieux je pouvais bien faire une entorse à mes habitudes et bien non semble t-il, en guise de représailles Over-blog décide de faire la tête et refuse absolument que je vous dise à quel point hier j’y croyais à l’été, après des allées et venues entre les garages, la cave et la piscine les bras encombrés de chaises longues, parassols, matelas au confort moelleux, l’heure de la récompense à sonné, pas un nuage, une température idéale, le maillot (presque collector : il a 9 ans), l’eau est à 24, plus qu’il ne m’en faut pour le premier bain de l’année. Alors oui elle est plus profonde que celle de l’année dernière, oui le fond blanc avec des petits poissons amusera les enfants, oui Maky dépêche-toi de ramener des matelas, non celui pour camping il ne va pas aller, à la place du jaune vif il n’y en avait pas des bleus par hasard ? bon tant pis, allez vient te baigner, mais non elle n’est pas froide, cache ta cicatrice sous tes cheveux, allez une- deux, une- deux, aqua-gym pour gommer tout ce qui dépasse, y a du boulot !Mais qu’est ce que ça fait du bien ces trempettes chez soi. J’envisage la banderolle au-dessus de la pisc-bassine : Il vaut mieux une petite bassine chez soi qu’une piscine chez les autres. Un peu long à broder ! Après cette belle journée sous le signe du chant des oiseaux, du ciel sans nuage j’y croyais à l’été et ce matin le même ciel fait grise mine, je vois qu’il a plu, la bache restera sans doute sur la piscine.

The nouvelle du jour : Le 8 juillet nous irons fêter les 41 ans de Fille Unique en Normandie avec le staff au complet : ses 2 grands-mères, sa tante et marraine et ses parents. Quand les grands-mères ont respectivement  85 et 82 ans il ne faut pas remettre à l’an prochain…

Quand à la place de « Bonjour mab » mon hébergeur me dit « Please try again later » je vois rouge !

A 13 h il fait soleil et lourd.


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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 07:32

                                                           Trouvés avec la piscine, impec, j'ai 4 enfants à y mettre.

A 62 j’ai arrêté de compter, mes oreilles n’en pouvaient plus, moi au bord de balancer la télé par la fenêtre, de quoi parle t-elle vous demandez vous ? Tout simplement de certains tics de langage qui fleurissent en ce moment sans toutefois éliminer les plus anciens, non ça s’accumule et croyez moi la langue de Molière en prend un coup.

L’autre jour dans un reportage d’à peine 10 mn une femme a employé « en fait » au moins 62 fois, agrémenté de « tout à fait »  aussi nombreux, le tout ponctué de « parfaitement » tout ceci en nous faisant visiter son « univers » car vous l’aurez constaté nous avons pris une dimension cosmique dans notre home sweet home, personnellement quand je fais « une belle rencontre » (lorsque je reçois amis ou copains) je les accueille dans notre maison pas notre univers. Notre amitié n’est pas une « aventure » je ne me sens nullement en danger avec les anciens ou nouveaux amis, les voyageurs de l’espace vivent des aventures, les marins solitaires aussi, les personnes handicapées au moment de traverser la rue sont les aventuriers des temps modernes, mais pas moi quand je vis des amitiés tranquilles et sans embrouilles.

Bon j’ai fini, je peux passer à autre chose. Sous un chaud soleil qui pris son temps pour s’installer la piscine quant à elle est bien en place.

Hier soir une excellente surprise avec un film anglais « Chronique d’un scandale » et avant-hier petite déception avec « Ensemble c’est tout » Le personnage de Philibert un peu laissé de côté pour donner la vedette à un  Guillaume Canet attendrissant. Vu aussi avec plaisir quelques jours avant Bonneville, road movie de trois seniorettes (oui vieille est devenue une grossièreté) avec des paysages magnifiques et uniquement pour les filles un film avec Sandra Bullock et Hugh Grant dont je ne me souviens plus du titre, pas impérissable mais très agréable.


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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 06:40

Sous le regard attentif de Maky et la participation active de Chipie la piscine rapportée à la place des tomates se remplit doucement, sous un ciel encombré de nuages, cette année nous sommes en avance pour l’installation de la bête ! Et pour cause directement de Béth*nie à ma voiture avec pour destination le jardin. Encore une bonne affaire venue remplacée la piscine achetée il y a 7 ans.

Déjà 7 ans, 7 ans de bons et loyaux services et juste une petite fuite d’air l’année dernière que nous n’avons pas réussi à localiser, il fallait donc une remplaçante, pas question de priver les enfants des joies du barbottage et nous des premiers ploufs d’Eugénie.

Passons à des choses bien plus sérieuses.

Je vous ai parlé de la mort de Poulet il y a quelques semaines et bien Poulet a été remplacé par Poulet, logique mais pas tout à fait pareil, Poulet 2 a une mère biologique qui accepte de le partager, un peu, avec une mère adoptive qui se console ainsi, un peu vite je trouve, de la mort de Poulet, celui qui la comprenait mieux qu’un mari, vous suivez ? En tant que fidèle cliente et presque copine je demande donc ,juste avant de me pencher sur la piscine, des nouvelles du nouvel « enfant gâté » et qu’elle n’est pas ma surprise d’apprendre que tous les bébés-poulets ont les yeux verts(et les cheveux blonds ) mais partager son affection et ses calins avec la maman-poule-bio c’est pas pareil, la relation est moins fusionnelle ! Ah oui je comprends et j’ai bien du mal à dissimuler mon fou-rire.

Ne vous moquez pas soyez plus charitable que moi !


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19 juin 2008 4 19 /06 /juin /2008 06:57

Qu’elle était la poule dans la gueule du renard que Fille Unique a vu passer devant la maison, oui terrorifiée à dit Henri jugeant sans doute que terrorisé tout seul n’arriverait pas à traduire l’horreur que Poule rousse avait ressenti. Toujours très à l’écoute des autres cet enfant, même des poules enlevées par le renard.

Pour continuer dans les news de Normandie sachez qu’Eugénie ne va plus chez la nounou. Je sentais bien que Fille Unique n’était pas très emballée par la personne chargée de veiller au bon fontionnement d’Eugénie mais quand elle m’a dit que le matin en arrivant avec son précieux chargement,  Nounou sortait du lit, qu’un homme différent tous les jours remplissait les cendriers, que la douche semblait être en panne et que bien d’autres petits détails…Eugénie a réintégré les jupes de sa mère qui par chance a trouvé une petite jeune fille qui vient à la maison, laissant tout loisir à Fille Unique de se pencher sur un problème crucial «  Comment avoir chaud cet hiver, dans une grande baraque sans que les euros partent en fumée et en fuel ? » Interrogation qui occupe pas mal de monde en ce moment.

Sinon quoi d’autres ?  Le programme des vacances n’est pas encore bien défini mais nous aurons  Henri et Eugénie sans doute pendant que les grands seront en camp, première fournée, j’ai hâte !

Hier je suis partie acheter des tomates et revenue avec…je raconterai demain peut-être


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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 07:09

Que nous étions chez Fille Unique, j’ai l’impression que les semaines ont compté double, que le temps a pris son temps et qu’il est temps de faire une cure de petits, petits qui grandissent…Si par hasard entre 2 bottes de foins Fille Unique me téléphone, penser à lui demander si Eugénie est devenue une pro des escaliers, si son vocabulaire s’est enrichi, pourquoi N°1 sur la photo de la fête des pères a l’air triste, à quel moment je peux réserver les leçons de natations pour Henri, si les foins sont bientôt finis, où en sont toutes les choses qu’elle avait en cours, démarches et rendez-vous, en échange de toutes ces informations je lui dirai que tout va bien à la maison, que j’ai retrouvé un vieil ami perdu de vue depuis des mois, un vieil ami qui me sert de mari, celui qui bricole en sifflotant, celui qui va et vient dans le jardin, celui qui a planté un vrai champs de tomates hier, vieil ami qui a bien failli sombrer dans les méandres d’une sévère dépression, merci le Champ*x qui enlève peut-être l’envie de fumer mais qui te flingue le moral mieux que les infos du jour. Je dirais encore à Fille Unique qu’elle nous manque et que 3 jours par an à la maison c’est de l’homéopathie, mais non je ne lui dirai pas.

Dorénavant je n’écouterai la météo qu’à la radio, les prévisions sont bien meilleures qu’à la télé...


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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 06:40

Cher Maurice,

Point n’est besoin de préciser que suivant vos périgrinations ferroviaires point par point depuis des années je me sens en droit d’utiliser le « cher » ceci constituant le premier point de ma missive.

Votre remarque judicieuse déposée telle un point de détail dans votre dernier commentaire vient à point nommé. En effet depuis quelques temps je me disais que j’avais bien du mal avec les points, qu’ils soient d’interrogations, de suspensions, virgules, d’exclamations ou bien final. Et me voici à ce jour équipée d’un second correcteur car je sais bien qu’un certain    Bibelot traque lui aussi mes nombreuses fautes. Mes petits points de croix n’échappent pas non plus à mes carences, je defais souvent ce que je viens d’écrire laborieusement avec l’aiguille.

Faisons le point ensemble : le participe passé est un point douloureux pour moi, de même qu’il n’est point de phrases que je détourne de son sens premier afin de ne point faire de faute colossale, ce qui m’a valu de nombreux points en moins sur mes copies dans une autre vie. Je ne sortais jamais vainqueur au point de la bataille avec le conditionnel…

La grammaire a toujours été un point de contact douloureux pour moi, bien plus qu’un point de côté dans la course à la perfection, que je n’atteindrai point j’en ai bien conscience.

Arrivée à ce point pas encore final de ma lettre je me mets en demeure, sans aucun préavis de compter les points de ce texte mais là surgit une autre difficulté, une buse en orthographe doublée d’une quiche patentée en mathématique ! Comment voulez-vous, cher Maurice qu’il ressorte un quelconque point positif de ce bref exposé explicatif. Inutile de dire que mes lacunes s’étendent aussi à la compréhension du point de fuite quand il s’agit de faire un dessin…

N’insistons pas sur tous ces points épineux, mais sachez aussi que les points cardinaux n’ont rien d’évident pour moi, je ne sais qu’aller au sud.

A ce point de ma lettre, je cesse là mon tricot 'écriture : point à l’endroit, point à l’envers, ça je sais un peu, compter les points au tennis est un jeu d’enfant pour moi.

Croyez bien cher Maurice que dorénavant je ferai un effort tout particulier afin de ne point trop vous asphyxier quand vous me ferez l’honneur de me lire.

Un point c’est tout.

P.S : Point n’est besoin de me dire que tous ces points sont répétitifs !!!!


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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 08:22

                                                                                 ma rue un lundi matin

Si j'étais copine avec Deezer j'aurais mis la chanson de Bécaud.

Entre Maky et moi  la façon de voir les choses diffère complètement, lui c'est le genre à voir le verre à moitié plein et moi bien sûr à moitié vide, en ce qui concerne le temps qu’il fait , grand sujet de préoccupation pour moi,si je lui dis « Non mais t’as vu ce temps » Il me répond invariablement « Oh moi ça me va bien, il ne fait pas froid » Et là je sort de mes gonds, en lui rappelant que nous sommes mi-juin, que la température descend tous les jours, qu’il pleut au moins 3 heures par jour, les bons jours, que la piscine devrait être installée et chauffer en attendant les enfants, que les fenêtres devraient être grandes ouvertes le matin et fermées à midi pour laisser la chaleur dehors, tout ceci dit drapée dans ma dignité agacée et  mon gilet d’hiver que je n’arrive pas à ranger ni à enlever de mon dos, sans parler de la couverture sur le canapé jamais bien loin de mes jambes, mais paradoxe de gémeaux il n’est pas question de fermer la fenêtre de la chambre la nuit, ouverte à une époque oubliée, en mai il a fait quelques jours beaux, elle sera fermée en octobre pas avant, sous ma couette l’air froid ne m’atteint pas et j’adore entendre la rivière couler.

Mais comme toujours j’exagère, hier il n’a plu que 2 ou 3 fois, pas longtemps, et le soleil a percé les nuages pendant 5 bonnes minutes, ce qui m’a permis d enlever quelques mauvaises herbes dans les tomates, à Maky de repiquer des laitues et à nous deux d’espérer faire des salades quand il fera chaud.


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15 juin 2008 7 15 /06 /juin /2008 07:15

                                                                                  Livre reçu pendant la chaîne .

Désolée Heure-bleue de te faire mentir mais ce matin je suis au-delà de la râlerie, la plus légitime malgré tout. A quoi sert de pester après le temps pourri, le soleil fait une timide apparition vers 18h, ce matin la coupe est pleine, la pelouse gorgée d’eau et je viens de me résoudre  aux chaussettes les plus glamours de ma collection, beigeasses,douces mais tellement chaudes ! Pendant que j’y étais, devant mon placard, œil torve et sourire absent, j’en ai profité pour décaler les vêtements d’été et remettre en 1ère ligne ceux d’hiver. Je ne râle pas, je constate, café fumant à mes côtés je me surprends à rêver d’un pot au feu bien roboratif, même plus envie de fraises, d’ailleurs les dernières cueillies avaient bien souffert d’un manque de soleil. Bien à part ça, de la plus grande importance dans ma vie, je serai muette sur l’absence de Barnaby, l’attitude des chaînes de télé est inqualifiable, mais fallait-il s’attendre à autre chose ? Bien à part ça ? Vais-je aller sur la marché , sous une jolie petite pluie fine, me faire doucher en passant sous les barnums des commerçants même pas agacés par ce temps d’hiver, blasés, désabusés et résignés, je suis certaine de les trouver dans cet étât d’esprit, et que vois-je à cet instant, sur mon mur jaune soleil qui me fait la vie belle, un moustique !! Les désagréments de l’été sans les avantages.

Bien à part ça ? Le livre présenté hier, pas mal mais ou bien j’ai sauté une ligne, une page, ou bien je n’ai rien compris, ou bien ça finit sans que l’on sache qui a tué, bien à part ça j’ai aimé l’univers dans lequel baigne le héros, anti-héros serait plus adapté, j’ai bien aimé les descriptions des lieux et maisons, sud de l’Angleterre et les caractères, finalement peu importe qui a tué la méchante dame, j’ai passé un bon moment.

Bien à part ça je file chez vous.


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14 juin 2008 6 14 /06 /juin /2008 06:56

Ce matin je bois mon thé tranquille, le soleil ne brille pas mais « ils l’avaient dit », mon esprit se met en route doucement, je réalise que hier soir il n’y a pas eu un seul coup de klaxon…  J’en conclus que la France à perdu, hum je ne les sens pas assez teigneux les hommes en short, mon esprit vagabonde sur la coupe du monde 98 quand j’entends la voix plus que guillerette du journaliste annoncer fièrement : « les gendarmes ont retrouvé la tête manquante dans un sac poubelle », vous croyez que ça me fait frémir, pas le moins du monde, vous pensez que je me suis étranglée d’horreur avec ma tartine, mais que non, je me frotte mentalement les mains, me réjouis de savoir que le corps a été reconstitué et imagine aisément quelle enquète passionnante gendarmes et policiers pourront raconter à leurs petits-enfants. Je me consterne un peu moi-même devant tant de cynisme, nourrie pour ainsi dire dès l’enfance à la littérature, j’ai bien dit littérature, policière, horreur, perversité, découpage de corps, serial-killer, rien ne m’étonne, rien ne me touche, sauf les abominations faites aux enfants.

Sans transition comme dirait celui qui part en septembre de la télé, moral bien plombé hier quand une grande bringue qui attendait comme nous de payer fraises, radis, épinards et autres produits casse-dos : «  la semaine prochaine les jours racourcissent » oh ! Je l’aurais volontiers étranglée. Pas un seul dîner dans le jardin…je sais il y a des choses bien plus graves.

Je pense que Maky se serait manifesté si nous avions gagné au loto...



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