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2 août 2007 4 02 /08 /août /2007 07:10
collage28.jpg
                                                             Quelques fleurs du jardin.

Mais sera-t-il là aujourd’hui, je parle de l’été bien sûr, une vraie belle journée, pas de vent, température idéale, ciel limpide, volets baissés dans la maison, j’adore cette pénombre qui efface la poussière, carrelage frais sous les pieds, on se croirait en vacances. A genoux dans le potager pour mener à bien un désherbage nécessaire les lézards me tenaient compagnie, et le soleil chauffait mes vieilles douleurs, j’étais bien tout simplement, les mains dans la terre je ne pensais à rien d’autre qu’au moment où j’allais commencer le pantalon de Maminette, je ne suis pas adepte de l’autosatisfaction mais dans le cas présent je suis assez contente de moi, il est fini et j’ai même de quoi me lancer dans un petit gilet sur lequel je ferai une broderie. J’attends un peu pour créer ma griffe, c’est encore prématuré.
Ce matin nuages dans le ciel, je tourne et retourne dans tous les sens le coussin que j’ai dans le dos, impossible de trouver la position idéale, bien fait pour moi, hier soir j’ai eu la flemme de me relever pour avaler les 2 cachets qui diminuent notablement les douleurs au réveil, la paresse est un vilain défaut, je le vérifie tous les jours.
Un reportage assez intéressant hier soir sur les différentes manières de partir en vacances : un couple d’enseignants  et leurs 2 enfants sont partis 1 an en 4x4 sillonner les routes des Amériques du Nord et Sud, belle expérience, vie quotidienne assez rude, bivouacs spartiates, paysages magnifiques, un seul bémol, la tête de la fille (15 ans) en disait long sur son état d’esprit, vivre en vase clos avec la famille sans les copines…j’espère que dans quelques années elle n’aura gardé que les bons souvenirs. Mais je me pose la question suivante : Les parents doivent-ils imposer leurs rêves à leurs enfants ? Ce genre d’expérience est assez fréquente, mais désociabiliser 2 ados pendant un an ne risque t-il de générer de gros problèmes au retour à la vie dite normale.
Autre sujet de stupéfaction : le prix de la location d’un mobil home dans un camping 3 étoiles à Biscarosse : 3000 euros la quinzaine ! À méditer n’est-ce pas ! A ce prix là je préfère l'hôtel.

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1 août 2007 3 01 /08 /août /2007 07:03
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J’ai trois magasins de prédilection, non, pas les parfumeries, ni les fringues, encore moins les chaussures, ceux que je hante volontiers pour le seul plaisir de réver et souvent d’acheter sont les merceries, les quincailleries-drogueries et les brico-machins. Hier je suis partie en quète de tissus pour faire un pantalon à Maminette, un mini marché St-Pierre est à quelques kms, tous les tissus d’ameublement, tous les galons, rideaux, joli vichy, jersey douillet, flanelle douce et grise comme je les aime, l’embarras du choix, le rayon mercerie avec ces toiles canevas de toutes grosseurs, de la plus grossière à la plus fine, ces fils et accessoires indispensables pour une brodeuse et une couturière débutante, la caverne d ‘Ali Baba tout simplement.
En  écrivant ces lignes surgit le souvenir de « La » quincaillerie-droguerie de la rue Montorgueil, comme chez les Mozabites d’Algérie on y trouvait tout ,tout et même ce que l’on ne cherchait pas, des conseils, des plaisanteries, de la compétence et surtout de la bonne humeur. A cette époque j’ai beaucoup hanté aussi le sous-sol du BHV, haut lieu du bricolage, un peu trop grand pour moi, mais le spectacle était à chaque rayon, j’admirais le parisien qui repartait avec 20 kilos d’étagères dans les bras, j’épiais, pas toujours discrètement, le « maniaque » qui passait des heures devant le rayon des poignées de portes, prenant, reposant, reprenant encore et toujours la même poignée, hésitant pour finalement repartir sans rien après avoir fait perdre son temps au vendeur, un monde à part ce sous-sol, femmes décidées allant tout droit vers la visserie, retraités venant faire la causette, hommes entre deux rendez-vous professionnels, pressés, une liste à la main et pas question de rentrer le soir à la maison en ayant oublié la lunette des toilettes, là aussi un personnel compétent mais pas toujours aimable, je peux comprendre…
Tout ça pour dire qu’hier je suis allée chez le marchand de tissus pendant que Maky de son côté faisait les bricos de la région : les problèmes commencent, il lui faudrait un mandrin supplémentaire pour ma "rivale".

Ce matin en allant chez les copines de 20 six, on se retrouve  en novembre 2006…une façon comme une autre de rajeunir.

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30 juillet 2007 1 30 /07 /juillet /2007 07:07
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                                                      Notre vigne nous donnera peut-être des satisfactions?

Ce temps est bien perturbant, déboussolant, générateur de moral en berne, de faux espoirs et de paresse. Comme ce dimanche sous le signe de la torpeur limite comateuse. Hier pendant que des hommes habillés en jaune, bleu et rouge pédalaient avec assez peu d’entrain j’ai plongé dans un sommeil lourd et réparateur jusqu’à une heure avancée de l’après-midi, j’en suis sortie un peu hébétée mais contente de n’avoir rien vu des averses nombreuses et très mouillées qui ont encore une fois rendu inutile l’arrosage. Un beau dimanche totalement improductif, entrecoupé de petits réveils afin de mieux me rendormir.
Ces jours-çi j’ai beaucoup de mal à intégrer le fait que nous ne sommes pas encore en août, qu’il reste en principe de belles journées ensoleillées à notre crédit et que l’automne est encore loin. Il paraît que la prochaine quinzaine sera estivale, j’ai du mal à le croire, vivement septembre qui nous verra sur la côte, à nous la plage, moins bondée, à nous les virées dans l’arrière pays sans trop de bouchons, à nous enfin la mer et le soleil, au bout de 6 ans reprendrais-je mes marques ? Je pense que oui tout cela est inscrit dans mes gènes.
Dans la nichée j’ai un N°2 qui comme le temps de ce mois peut passer avec rapidité et facilité du rire aux larmes sans raison apparente, mais il faut bien avouer que sa mauvaise humeur est plus facile à canaliser que les changements du temps, son oeil s’assombrit aussi vite que le ciel, il peut même nous prévenir le matin en déclarant qu’il est de « bonaise » humeur, amalgame qui fait garer ses frêres un peu loin de lui jusqu’à ce que l’orage passe. Et quand le sourire lui revient, on ne sait pas pourquoi, la vie peut reprendre son cours tranquille, la chappe de plomb se transforme en voile léger, le soleil brille à nouveau dans la maison. La seule qui n’a pas droit aux sautes d’humeur est Maminette, elle explose litéralement de joie quand elle le voit, ses bras et jambes expriment un contentement proche de l’extase et le nirvana est à son comble quand il lui parle. Je dois  préciser qu’il s’en occupe très bien et que souvent il lui donne à manger avec une patience d’ange, d’où l’adoration qu’elle lui voue.
N°1 a du rentrer fourbu de son camp, Fille Unique dès que tu as un moment…
Hier j’ai failli à la tradition en ne parlant pas du marché, je répare aujourd’hui, de la pluie, des bronzés retour de vacances, des palots pas encore partis, des parapluies et même des anoraks, avec des sandales c’est assez curieux. Quand aux fruits et légumes toujours aussi onéreux.

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28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 07:32


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J’ai beau avoir une confiance sans limite dans les capacités de Maky à gérer les situations les plus compliquées, j’avoue qu’hier je stressais un peu à l’idée de déplacer 150 kilos de fonte sur une centaine de mètres. Première étape, faire sortir la bête de la voiture pour la mettre dans la remorque, c’est ingrouillable ces machins-la, mais nous y sommes arrivés, à cheval sur une planche entre la remorque et la voiture, il fallait le palan pour l’installer confortablement, ensuite suant, peinant hahanant sous l’effort et priant pour que les roues tiennent, traversée du jardin jusqu’à l’atelier, ouf nous y sommes, ne reste plus qu’à descendre la chose, oui mais comment ? En basculant la remorque le plus délicatement possible, en calant avec des tabourets et chaises et en espérant que Maky n’allait pas la recevoir sur les jambes, c’est fait la machine est descendue en douceur sur des rondins qui la font rouler jusqu’au palan…Re ouf, maintenant c’est du gâteau, cette merveille de palan fera le reste et je peux retourner à la quiétude de ma lingerie face à face avec le tablier chasuble que j’ai commencé pour Maminette.
Morale de cette histoire : Quand Maky met son disque dur en marche, pas de souci, il a tout prévu.
Maintenant dans l’atelier à  l’odeur des copeaux de bois se mêle celle de la limaille et de la graisse, j’adore (et ce n’est pas sarcastique du tout) c’est mon enfance que resurgit quand je passais des journées entières chez le charron voisin de mes grands-parents. Actionner l’énorme soufflet de forge était un vrai plaisir, regarder le fer se tordre sous les coups de marteaux, monter dans la charrette pour aider (j’avais 9 ou 10 ans, je devais plus encombrer qu’aider) à fixer les ridelles, et surtout, bonheur suprême j’avais la permission d’utiliser le marteau pilon…
Il paraît que l’été arrive pour une dizaine de jours, c’est une bonne nouvelle qu’il faut prendre avec prudence, la météo n’est pas à une tromperie prés.
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27 juillet 2007 5 27 /07 /juillet /2007 07:21
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-         Viens chérie, je t’emmène à Dijon.

-          Bonne idée !

-         Heu il faudrait prendre nos 2 voitures

-         Ah ! on va ramener de la moutarde, du vin ?

-         Ben non, une machine outils (un peu encombrante la bête !)

 C’est ainsi que la promenade en amoureux s’est muée en un aller-retour sous le soleil, c’est ainsi que j’ai fait 500kms dans la journée, sans clim dans la voiture pour transporter, avec le sourire, un morceau de ma future rivale. Tourner, fraiser, percer, usiner voilà le nouveau credo de Maky. Pas la peine de vous dire que mes étagères attendront, que les gouttières à poser feront de même, il a bien tenté de m’expliquer qu’il pourrait aussi travailler le bois, je n’en crois pas un mot. Un établi tout inox sur roulettes avec bac de liquide de refroidissement a brinqueballé dans ma voiture pendant 3 h, la « machina » par elle-même est toujours dans l’autre véhicule, 150 kilos à décharger ce n’est pas une mince affaire et toujours la grande question : « Mais que va-t-il bien pouvoir faire avec ça ? » Des pièces oui mais des pièces pourquoi ?  A part ces considération un rien moqueuses, il faisait beau, les vignoble de Gevrey-Chambertin bien fourni, le vendeur complètement stressé, l’image même et caricaturale du père de 4 ados-filles dont « 3 jumelles » comme il dit, nous a bien fait rire. Un bref repas dans une ZI,  le romantisme est bien mort, et retour en convoi.
Je vais devoir jouer les femmes accomodantes, fermer les yeux sur les incartades de l’homme et surtout apprendre un peu à quoi servent tous ces accessoires aux noms bizarres.


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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 07:39





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A partir de demain vous pourrez suivre les nouvelles aventures de Mab et son tourneur-fraiseur. Moutarde et chocolat feront-ils bon ménage ? Je suis en retard, pas le temps de vous rendre visite, le ciel est pur, la route m'attend. A ce soir.

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25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 06:28
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                                                                   Les rescapées d'un été pourri.


Certains tapent sur des bambous, moi je clique vainement sur les blogs muets. Tous les jours avec une régularité maniaque je clique sur Elvire, mais ce sont toujours les serpents qui sont en première page, depuis des mois je clique sur Anitta et sa Corinne F en vain, pourtant j’aurais bien dû comprendre que son dernier billet sonnait le glas de sa prose. Deux exemples de ma constance et fidélité, il y en à d’autres des silencieux, muets, aphones, boudeurs, fatigués ou tout simplement qui ont trop ou pas assez à dire. Et moi je continue de cliquer, heureusement Bernie nous a donné de courtes nouvelles, il ne va nous laisser en rade avec sa Loïs. Dans mes favoris les hommes sont rares, quelques voyageurs avec qui je fais le tour du monde, quelques expatriés, pas encore trouvé le blogueur idéal, d’ailleurs je ne sais pas bien ce que je recherche, pas plus si affinités, mais une certaine régularité et de l’humour. Le Goût ne manque pas de sel mais il est rare.
Je clique beaucoup chez les brodeuses, pourquoi me torturer ainsi en voyant leurs ouvrages ?
Je clique sur les blogs-jardiniers, encore une torture, je suis maso ou quoi ?
Au hasard des commentaires chez certains je clique sur un site qui porte un nom accrocheur ou intriguant et me voici embarquée dans un quotidien parfois léger comme une robe d’été (pas de saison) parfois lourd comme un manteau mouillé, blogs défouloirs, blogs photos, blogs de tout et de rien je me sens parfois si concernée par cette vie des autres que souvent je m’éloigne du clavier me disant « Stop, ce n’est que du virtuel, tu as tes propres soucis sur les épaules et tout cela est-il bien vrai ? » mais qu’importe j’y reviens quand même.
Je clique, tu cliques, nous cliquons, vive le clic et revenez les absentes !
D’un clic vous pouvez agrandir la photo des tomates rescapées, elles ne sont pas mauvaises ni délicieuses et 12 tomates pour 50 pieds repiqués c’est un record à l’envers !

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24 juillet 2007 2 24 /07 /juillet /2007 08:20
oeil-eug--nie.jpgoeil-copie-1.jpg Trop de rides et de fatigues dans mes yeux pour leur donner la une. Ceux des petits sont bien plus beaux.

oeil-victor.jpg
Devoirs de vacances 2 en un pour Karmara et Marie.

La première chose que vous avez empruntée à votre mère ?

Me souviens pas, mais je garde le souvenir d’un ensemble en soie bleue qu’elle m’avait donné et dont j’ai fait la base de mes tenues pendant des années.

Vos basiques ?
Le  T-Shirt que je considère comme la plus belle invention vestimentaire. Chic, habillé, en soie en coton, maille fine et confortable, déclinable en toutes teintes, large ou prés du corps, de nuit ou sous un tailleur, humoristique ou porte-parole de ses états d’âmes, il est indispensable. J’en ai une collection qui date de plus .de 20 ans.

 

Le premier styliste suspendu dans vos placards ?

Je l’ai déjà dit, j’ai des amitiés au-dessus de mes moyens donc des vêtements griffés se sont trouvés sur les cintres cotoyants du monop, j’ai toujours un pantalon Prada qui me va comme un gant quand je suis en phase « régime »


Vous ne vous séparez jamais ?

Comme Marie, Mab jamais sans ses lunettes de soleil , très pratiques pour ne pas voir les indésirables

 


En ce moment, vous écoutez en boucle ?

La petite voix intérieure qui me dit  « ça va aller, ça va aller »

 

Votre dernière folie ?

Pas vestimentaire mais cosmétique, la fameuse crème vendue exclusivement chez Séphora qui devait me redonner l’éclat de mes 20 ans, arnaque bien sûr.

L’indémodable ?
Je ne suis pas du tout la mode alors pour moi tout est indémodable

 

Votre style ?
Le mien,

 

La faute de goût ?

Les couleurs criardes des années 70

 

Avez-vous l’âme d’une collectionneuse ?

Peut-être un peu .
 

 

Acheteuse compulsive ou raisonnée ?

Ni l’un ni l’autre.
 

 

L’élégance en un nom ?

Marie a choisi Audrey Hepburn, je pioche Katherine, sa façon de porter le pantalon et de déambuler crinière au vent à grandes enjambées est une élégance plus proche de mon caractère.

La chose que vous ne pourriez jamais porter ?

Celle qui gratte, qui  serre, celle qui m’enlèverai quelques centimètres et les pantalons en cuir, sur moi je déteste.



Votre rêve ?

Chanel de la tête aux pieds mais sans le sac ni les bijoux.

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23 juillet 2007 1 23 /07 /juillet /2007 07:06
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Si vous avez lu les commentaires du billet précédent vous avez peut-être été intrigués par celui de Fyl et  la réponse de Fille Unique, je vais tenter de vous expliquer en quelques mots.

Dans notre vocabulaire amico-familial « les p’tits » sont les enfants de nos « amisdetoujours » amis d’enfance de Fille Unique. Ils sont 3 ayant largement dépassé la barre des trentenaires mais ce sont toujours les « p’tits » 14 mois séparent Fyl et Fille Unique, jamais une dispute même quand ils avaient l’âge de se battre pour des jouets, jamais une embrouille d’adolescents, parisiens tous les deux quand ils étaient étudiants, à grandes enjambées Fyl allait de sa rue de Rivoli à la rue de Cléry confronter ses idées à celles de son amie, quand elle s’est mariée quoi de plus naturel que de venir de Tahiti pour être le témoin d’un mariage éclair , depuis, l’éloignement, la vie et ses difficultés, le temps qui passe ont fait qu’ils ne s’étaient pas revus depuis des années…mais des amis d’enfance de cette qualité ça se retrouve comme si le temps n’existait pas, des amis d’enfance ça reprend la conversation là où elle s’était arrêtée, des amis d’enfance n’ont besoin que d’un regard pour reprendre le tricot de l’affection.
Pour des raisons professionnelles Fille Unique était dans la région ces 2 derniers jours, elle a pu ainsi renouer avec son Fyl et sa sœur, celle à qui ils prenaient un malin plaisir à dire « non pas toi tu n’étais pas née », il manquait juste Pluskami, le frêre du milieu, retenu à sa brasserie. Fille Unique était ravie de ce court intermède, ravie de revoir ses enfants, Maminette un peu surprise de revoir maman, nous ravis de voir notre fille 2 fois en une semaine. Après un repas dominical, Maky a embarqué tout le monde et à moi une soirée les doigts de pieds en éventail.

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 08:43
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Après les perversités et cruautés des Desperates il était bon de regarder le reportage sur l’adoption, tristesse et bonheur de ces enfants arrachés à leur pays d’origine, angoisse et bonheur teintés d’interrogations de ces futurs parents, besoin d’enfants, envie de dispenser de la joie, ces gens sont formidables ! Rien sur les longues démarches, les prix (oui tout s’achète), simplement leur quotidien pendant un mois au Brésil ou en Chine pour tenter d’apprivoiser ces petits abandonnés. Pas facile, déroutant, surtout avec de presque ados, plus aisé avec des bébés, mais dans le regard de chaque enfant une expression ombrageuse qui mettra du temps à laisser la place au bonheur pur et simple.
Ce matin il pleut, ça tombe bien j’ai un gros repassage à faire.
Simple constation : Il est évident que Maminette apprécie particulièrement le spectacle de ses frêres jouant autour d’elle et plus c’est violent plus elle manifeste sa joie, les jeux du cirque sont bien inscrits dans les gènes de l’espèce humaine…
Irons-nous au mariage des voisins sous la pluie ? En tous cas les garçons attendent ça comme un événement de la plus haute importance et comme on dit « mariage pluvieux, mariage heureux. Sûrement un dicton inventé par un sage habitant une région bien arrosée.
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